Un trouble alimentaire impacte :

  • la santé physique
  • la santé mentale
  • la vie sociale et familiale

Il entraîne souvent une profonde détresse et peut devenir si envahissant au point d’influencer le quotidien, la scolarité et les études ainsi que les relations amicales, familiales ou amoureuses.

Selon l’intensité du trouble alimentaire, sa durée et son type, on peut voir apparaître une ou plusieurs de ces conséquences.

Des pensées obsessionnelles et envahissantes qui tournent essentiellement autour de la nourriture, du corps et du poids.

Une image déformée de son corps et de soi-même : même avec un poids en dessous de la norme, on se voit trop gros·se. C’est ce que l’on appelle la dysmorphophobie.

Sentiment de honte et de dégoût de soi, mauvaise estime de soi.

Dépression et troubles de l’humeur sans raison apparente.

Isolement et sentiment de solitude : la honte, la crainte du jugement et l’impression de ne pas être compris·e empêchent de parler de ce que l’on vit. Mais essayer de cacher la maladie demande aussi beaucoup d'énergie.

Crainte du jugement des autres.

Parfois, il y a l’apparition d'autres dépendances (ex : alcool, médicaments, achats compulsifs, etc.) et des actes d’automutilation.

Déni : il peut être difficile de reconnaître la réalité de la maladie et sa gravité. On pense que l’on peut s’en sortir seul·e lorsqu’on l’aura décidé et que ce n’est pas si grave.

Sentiment de toute puissance, en particulier en lien avec l’anorexie, qui peut entraîner dans un cercle vicieux.

Difficultés à être en lien avec ses émotions et coupure avec ses sensations corporelles et ses besoins.

Pensées suicidaires.

Avec le soutien de

Avec le soutien financier de la Confédération, en vertu de l'ordonnance sur des mesures de protection des enfants et des jeunes et sur le renforcement des droits de l'enfant.

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