• reconnaitre les situations qui te stressent et ne pas faire comme si elles n’existaient pas.
  • repérer ce qui crée ta préoccupation dans la situation. (par exemple, cela peut être ressentir de l’anxiété à l’idée de devoir passer à l’oral d’allemand alors que tu as bien travaillé. Tu peux te demander ce qui crée cette peur ? La note, la réaction de ta prof, de tes parents ou le fait de devoir parler en public ? En fonction de ta réponse, tu vas pouvoir mettre en place des stratégies différentes.)
  • identifier comment les tensions se manifestent dans ton corps, ton cœur et ta tête et les accueillir comme elles sont: qu’est-ce que tu ressens dans ton corps dans cette situation, quelles sont les pensées présentes dans ta tête, les ressentis et les émotions dans ton cœur ? Tu les regardes sans résister et tu respires profondément
  • prendre conscience de tes ressources, c’est-à-dire de ce que tu peux faire toi-même pour faire face aux éléments stressants ou aux émotions qui te submergent. Peux-tu agir sur la situation elle-même? par exemple en changeant de chemin pour aller à l’école si tu rencontres des personnes qui t’inquiètent sur ton chemin habituel, mettre ton réveil plus tôt si tu es stressé.e le matin, etc.- ou sur mon propre état intérieur pour le calmer - m’arrêter, respirer, me relaxer, méditer, bouger, etc.-. Chacun∙e a ses propres façons de retrouver le calme!
  • j'identifie ce qui me procure de la joie, ce qui m’aide à me sentir bien et que je le mets en pratique: aller dans la nature, parler à une amie, regarder un bon film, dessiner, lire, écouter de la musique, etc.
  • je me fixe des objectifs petits et réalistes que je peux atteindre. Pour gravir une échelle c’est plus facile si j’avance sur chaque échelon plutôt que d’aller directement du premier au dernier !
  • je passe à l’action (agir diminue l’effet de stress) en faisant taire ma petite voix saboteuse.
  • je relativise ce qui m’arrive et je comprends que je ne suis pas seul∙e. Les autres vivent souvent la même chose que moi.
  • j’ose en parler et rechercher de l’aide si j’en ai besoin.
A mettre dans la poche
  • Je m’arrête deux minutes et je respire un bon coup.

  • Je prends les choses avec distance et pas toujours personnellement.

  • Je fais du mieux que je peux sans pression inutile.

Quand je vis des situations qui provoquent des émotions ou du stress, je les regarde le plus tranquillement possible, j'essaie de comprendre leur message et de ramener du calme en moi.

A chaque fois que je réussis à regarder ce qui me stresse dans les yeux et à le calmer, j'augmente ma confiance et mon estime de moi-même.

Avec le soutien de

Avec le soutien financier de la Confédération, en vertu de l'ordonnance sur des mesures de protection des enfants et des jeunes et sur le renforcement des droits de l'enfant.

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