Je vais vraiment pas bien... jsp quoi faire

Réponses

• Par Compte supprimé (Fille / 2009 / Suisse, Autres cantons suisses) le 6 décembre 2022 à 16:35

  C'est horrible je suis désolée pour toi 😭
  Je ne sais pas trop quoi te dire mais je te conseille d'essayer de sortir (en ville ou faire qqch que tu aime bien) reprendre goût à la vie bon je sais bien que c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire... mais...

• Par redbullmulticolor (Fille / 2009 / Suisse, Genève) le 6 décembre 2022 à 18:18

  Ca m’as bcp toucher mais jsp comment t’aider essayes peut être de trouver quelque chose que t’aimes faire et qui te rends heureux même si t’as pas envie essayes de te forcer un peu et essayer ? Je suis pas là plus bien placé pour dire ça mais bon

• Par eli_le_pissenlit (Garçon / 2007 / France) le 8 décembre 2022 à 02:28

  C'est horrible je suis désolée pour toi 😭 Je ne sais pas trop quoi te dire mais je te conseille d'essayer de sortir (en ville ou faire qqch que tu aime bien) reprendre goût à la vie bon je sais bien que c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire... mais...

  T'excuse pas t'y es pour rien 🥲
  Et merci bcp :D g un ami qui essaie de me faire sortir un peu, donc je sort un peu ^^

• Par eli_le_pissenlit (Garçon / 2007 / France) le 8 décembre 2022 à 02:31

  Ca m’as bcp toucher mais jsp comment t’aider essayes peut être de trouver quelque chose que t’aimes faire et qui te rends heureux même si t’as pas envie essayes de te forcer un peu et essayer ? Je suis pas là plus bien placé pour dire ça mais bon

  Merci bcp d'avoir répondu :'D et le problème c que j'aime pas grand chose ^^' a part le dessin mais bon ça m'enferme encore plus g l'impression, genre eje reste dans ma chambre a dessiner et je suis un peu dans ma bulle, après en ce moment g pas du tout d'inspiration donc c compliqué 🥲

• Par Daneliya (Fille / 2004 / Suisse, Genève) le 8 décembre 2022 à 11:59

  Salut,

  Je me permets de te répondre car, je connais assez bien la fatigue et le refus d'hospit au début.
  ( Je vais écourter mais ça risque d'être long...)

  Mes soucis pour ma part ont commencés il y a bientôt 3 ans. Juillet de la seconde (Oui, la même année que toi avec le même âge. ), je me suis juste mise à pleurer pendant deux mois car je redoutais la rentrée. Jusque la, j'étais première de la classe. J'avais peur de ne pas être à la hauteur et prise dans des grande école tel que Sciences Po, au point d'en tomber malade. J'ai changé de lycée pour aller dans un lycée plus "élitiste" (erreur de ma vie) et de filière en première, ( Première "ES", spécialité géopolitique, SES et mathématique. ), début du "vrai cauchemar". Une fatigue constante et, un sommeil vraiment pas réparateur. (Je devais dormir directement en rentrant de cours et donc, 13 heures. ) Mes notes n'étaient pas assez hautes pour moi ( 13 en mathématique comme première note au nouveau lycée ) et je l'ai vraiment mal vécu. Mon angoisse c'est dédoublé jusqu'à en avoir des IS ( idées sui........).
  L'infirmière de mon lycée a convoqué mes parents et, nous on dit d'aller à l'hôpital. Je n'ai pas été gardé et comme toi ( au début... ), je me suis dise que c'est quand je passerais à l'acte qu'ils bougeront.
  Je n'allais vraiment pas mieux et aux vu des comportement à risque, (mutil....., recherches dangereuses) j'ai été hospitalisée une première fois dans une unité de crise suicidr mais que 1 semaine. Juste après àl'hp 1 semaine puis, retournée dans la première unité. J'espérais aller mieux mais ça a été totalement inutile. Les médecins ne m'ont pas prise au sérieux, je me suis juste sentie capricieuse et pas légitime...Je suis retournée au lycée mais finalement, mon médecin m'a mise "en arrêt "jusqu'à la fin d'année. A ce moment tout était difficile...
  Me lever de mon lit pour prendre une douche ou bien même aller aux toilettes. Donc, je ne faisais plus rien.
  (TW), je me faisais pipi dessus pour dire...
  M'arrêter après réflexion aujourd'hui était une très mauvaise idée. Lorsque tu vas en cours, oui c'est dure, c'est très très dure mais tu es obligé de faire le minimum, ne serait ce que te laver.

  L'année suivante, au bout de 3 semaines à la vue d'un contrôle de géopo, IS...
  Retour à l'hôpital mais cette fois pour une "vraie hospit", une hospit d'un mois avec des "vrais cachés" obligatoires, on ne me laissait pas le choix...
  Des sédatifs. Je ne pensais plus par moi même et, mon discourt était confus... Ces fameux m'ont mise en danger.
  Ces médecins m'ont mis en danger. L'unité ou j'étais avec des adultes, un en particulier m'a exposé.. mais le mal a été fait. Au moins, ils l'ont reconnus. Après un mois, sortie de cette hôpital mais vraiment plus bas que terre, je suis revenue quelques semaines plus tard mais pour plus de 4 mois et la, c'était "beaucoup moins drôle. " Le médecin référent que j'avais n'arrivait pas à poser de diagnostique sur le fait que ça n'aille pas alors il est allée jusqu'à inventer une chose. Finalement, sa connerie n'a pas marché et, il a avoué avoir inventé X chose pour en fonction de ma réaction, poser un diagnostique. (Très médical tout ça!) En gros, il m'a dit que mes parents lui avaient confiés que je parlais seule dans ma chambre, comme si j’étais avec quelqu'un. Mes parents l'ont bien remis à sa place et, il c'est calmé. ( Et non coco, je ne suis pas schizophrène )
  Après ça, je suis sortie contre avis médical. J'ai refais une semaine d'hospit pour un autre soucis qui c'est développé et dont encore une fois les médecins n'ont pris en compte que bien tard, les TCA mais des mois plus tard. J'ai commencé un suivi pour ça aussi, suivi totalement chaotique mais ça, c'est encore une autre histoire.

  Tout ça pour te dire que je suis passée par la case hospitalisation et ça m'a TOUT sauf aidé, loin de là.
  Aujourd'hui, je suis loin de tout ce qui est hospits et psychiatres, je ne veux plus en entendre parler.
  Je "vois" (enfin mdr, je n'appelle pas ça un suivi leur histoire) des médecins mais spécialisés en TCA et par contre, ça se passe très très bien avec eux.
  (Psychiatres, interne, psycologue, diététicienne et infirmiers spécialisés en TCA. )
  Ce que je veux te dire c'est que les hospitalisations ne sont pas forcément la solution. Moi, ça m'a aidé à aller encore moins bien MAIS pour autant, je ne dis pas que toutes les hospitalisations sont mauvaises (J'aimerais être hospitalisée pour mes TCA, ça se passe très bien avec les soignants et, je n'y arrive plus seul).
  A contrario, mes hospitalisations pour mes IS puis ma TS ont été les pires souvenirs de ma vie.
  Aujourd'hui même quand je suis au plus bas et bien, je ne le dis pas pour ne pas y retourner.
  Mon premier passage aux urgences m'a déçu car je voulais être hospitalisée pour mes IS mais bien contente d'avoir fait une hospitalisation en moins. C'est facile d'y rentrer mais pour y sortir...c'est une autre histoire. (Je parle du milieux de la psychiatrie. )
  Chaque situations sont différentes. Pour certains patients, elles peuvent être vraiment nécessaires et, les demander si besoin, salutaire mais pour d'autres, au contraire...

  Concernant ton suivi, j'ai vu que tu étais en France. Je ne comprends pas pourquoi tu ne vas pas à la MDA ( maison des adolescents ), j'y allais avant...
  En théorie il y en a une dans chaque régions et de ce fait, tu pourrais avoir un "vrai suivi psy " avec si besoin psychiatre et ou psycologue, infirmier etc.
  Sinon, il existe le CMPP ( tu y trouverais pareil mais surtout si besoin, tu pourrais faire de l'hdj ou tu ferais des activités avec des soignants adaptés à ta situation (c'est un suivi plus régulier. ))
  Et si trop âgé, le CMP.
  Pour finir, il existe le CASP qui a la même fonction.
  Tout ça est gratuit bien sur. Je n'ai jamais présenté un seul papier ni rien.

  Je te souhaite plein de courage.
  N'hésites pas à me faire un retour de la situation.
  Daneliya.

• Par eli_le_pissenlit (Garçon / 2007 / France) le 9 décembre 2022 à 01:44

  Salut, Je me permets de te répondre car, je connais assez bien la fatigue et le refus d'hospit au début. ( Je vais écourter mais ça risque d'être long...) Mes soucis pour ma part ont commencés il y a bientôt 3 ans. Juillet de la seconde (Oui, la même année que toi avec le même âge. ), je me suis juste mise à pleurer pendant deux mois car je redoutais la rentrée. Jusque la, j'étais première de la classe. J'avais peur de ne pas être à la hauteur et prise dans des grande école tel que Sciences Po, au point d'en tomber malade. J'ai changé de lycée pour aller dans un lycée plus "élitiste" (erreur de ma vie) et de filière en première, ( Première "ES", spécialité géopolitique, SES et mathématique. ), début du "vrai cauchemar". Une fatigue constante et, un sommeil vraiment pas réparateur. (Je devais dormir directement en rentrant de cours et donc, 13 heures. ) Mes notes n'étaient pas assez hautes pour moi ( 13 en mathématique comme première note au nouveau lycée ) et je l'ai vraiment mal vécu. Mon angoisse c'est dédoublé jusqu'à en avoir des IS ( idées sui........). L'infirmière de mon lycée a convoqué mes parents et, nous on dit d'aller à l'hôpital. Je n'ai pas été gardé et comme toi ( au début... ), je me suis dise que c'est quand je passerais à l'acte qu'ils bougeront. Je n'allais vraiment pas mieux et aux vu des comportement à risque, (mutil....., recherches dangereuses) j'ai été hospitalisée une première fois dans une unité de crise suicidr mais que 1 semaine. Juste après àl'hp 1 semaine puis, retournée dans la première unité. J'espérais aller mieux mais ça a été totalement inutile. Les médecins ne m'ont pas prise au sérieux, je me suis juste sentie capricieuse et pas légitime...Je suis retournée au lycée mais finalement, mon médecin m'a mise "en arrêt "jusqu'à la fin d'année. A ce moment tout était difficile... Me lever de mon lit pour prendre une douche ou bien même aller aux toilettes. Donc, je ne faisais plus rien. (TW), je me faisais pipi dessus pour dire... M'arrêter après réflexion aujourd'hui était une très mauvaise idée. Lorsque tu vas en cours, oui c'est dure, c'est très très dure mais tu es obligé de faire le minimum, ne serait ce que te laver. L'année suivante, au bout de 3 semaines à la vue d'un contrôle de géopo, IS... Retour à l'hôpital mais cette fois pour une "vraie hospit", une hospit d'un mois avec des "vrais cachés" obligatoires, on ne me laissait pas le choix... Des sédatifs. Je ne pensais plus par moi même et, mon discourt était confus... Ces fameux m'ont mise en danger. Ces médecins m'ont mis en danger. L'unité ou j'étais avec des adultes, un en particulier m'a exposé.. mais le mal a été fait. Au moins, ils l'ont reconnus. Après un mois, sortie de cette hôpital mais vraiment plus bas que terre, je suis revenue quelques semaines plus tard mais pour plus de 4 mois et la, c'était "beaucoup moins drôle. " Le médecin référent que j'avais n'arrivait pas à poser de diagnostique sur le fait que ça n'aille pas alors il est allée jusqu'à inventer une chose. Finalement, sa connerie n'a pas marché et, il a avoué avoir inventé X chose pour en fonction de ma réaction, poser un diagnostique. (Très médical tout ça!) En gros, il m'a dit que mes parents lui avaient confiés que je parlais seule dans ma chambre, comme si j’étais avec quelqu'un. Mes parents l'ont bien remis à sa place et, il c'est calmé. ( Et non coco, je ne suis pas schizophrène ) Après ça, je suis sortie contre avis médical. J'ai refais une semaine d'hospit pour un autre soucis qui c'est développé et dont encore une fois les médecins n'ont pris en compte que bien tard, les TCA mais des mois plus tard. J'ai commencé un suivi pour ça aussi, suivi totalement chaotique mais ça, c'est encore une autre histoire. Tout ça pour te dire que je suis passée par la case hospitalisation et ça m'a TOUT sauf aidé, loin de là. Aujourd'hui, je suis loin de tout ce qui est hospits et psychiatres, je ne veux plus en entendre parler. Je "vois" (enfin mdr, je n'appelle pas ça un suivi leur histoire) des médecins mais spécialisés en TCA et par contre, ça se passe très très bien avec eux. (Psychiatres, interne, psycologue, diététicienne et infirmiers spécialisés en TCA. ) Ce que je veux te dire c'est que les hospitalisations ne sont pas forcément la solution. Moi, ça m'a aidé à aller encore moins bien MAIS pour autant, je ne dis pas que toutes les hospitalisations sont mauvaises (J'aimerais être hospitalisée pour mes TCA, ça se passe très bien avec les soignants et, je n'y arrive plus seul). A contrario, mes hospitalisations pour mes IS puis ma TS ont été les pires souvenirs de ma vie. Aujourd'hui même quand je suis au plus bas et bien, je ne le dis pas pour ne pas y retourner. Mon premier passage aux urgences m'a déçu car je voulais être hospitalisée pour mes IS mais bien contente d'avoir fait une hospitalisation en moins. C'est facile d'y rentrer mais pour y sortir...c'est une autre histoire. (Je parle du milieux de la psychiatrie. ) Chaque situations sont différentes. Pour certains patients, elles peuvent être vraiment nécessaires et, les demander si besoin, salutaire mais pour d'autres, au contraire... Concernant ton suivi, j'ai vu que tu étais en France. Je ne comprends pas pourquoi tu ne vas pas à la MDA ( maison des adolescents ), j'y allais avant... En théorie il y en a une dans chaque régions et de ce fait, tu pourrais avoir un "vrai suivi psy " avec si besoin psychiatre et ou psycologue, infirmier etc. Sinon, il existe le CMPP ( tu y trouverais pareil mais surtout si besoin, tu pourrais faire de l'hdj ou tu ferais des activités avec des soignants adaptés à ta situation (c'est un suivi plus régulier. )) Et si trop âgé, le CMP. Pour finir, il existe le CASP qui a la même fonction. Tout ça est gratuit bien sur. Je n'ai jamais présenté un seul papier ni rien. Je te souhaite plein de courage. N'hésites pas à me faire un retour de la situation. Daneliya.

  Oh bah merci bcp pour ton témoignage :'D
  Enfait gt a la mda mais ct horrible, enfin les gens pour la plupart son super gentils mais j'avais un rdv tous les 2 mois donc ça aidait pas du tout, maintenant je suis au csa (centre de soin pour ado), je peu avoir un rdv toutes les semaines et je pourrais même potentiellement venir quand je veux sans rdv ni rien, donc c vraiment bien, après j'y suis que depuis mis novembre, donc ça fait pas longtemps et comme g du mal à me confier en général (ici ça va vu que c anonyme) bah g du mal à leur parler de tout ca, et en particulier d'is ou trucs du genre assez grave
  Sinon a la base ct un.e ami.e qui m'avait fortement conseillé d'aller a l'hôpital/urgences par ce qu'iel y était allé ya 2 ou 3 ans et ca c super bien passé etc, donc c vrai que je me suis dit que ça allait logiquement être un peu pareil pour moi mais bon pas du tout 🤡
  En tout cas, grand merci ^^ je pense que maintenant au moins je sais que c "normal" (avec de grands guillemets) que ca peu mal se passer (par ce que biensur c pas normal mais bon on a compris ce que je veux dire)

• Par Daneliya (Fille / 2004 / Suisse, Genève) le 9 décembre 2022 à 12:42

  Bonjour!

  Je suis désolée, j'ai écris très vite hier avant de retourner en cours afin d'être certaine que tu reçoives le message dans l'après midi. Truffé de fautes ahaha. : )
  Je comprends pour la Maison des ados, tout comme le CPM le suivi est assez espacé. C'est pourquoi je t'ai parlé de l'hôpital de jour. En fonction de ta situation, tu peux y être "inscrit" une à plusieurs fois par semaines. Pour autant, si le CSA te convient c'est très bien. Mais...ce n'est que jusqu'à 16 ans je crois. En espérant que tu ailles mieux d'ici là. Et oui, un passage aux urgences peu bien se passer tout comme très mal... Tant mieux pour ta copine si ça l'a aidé!
  Les soignants sont là pour vous ( en théorie ), si tu ne dis pas ce qui ne va pas , ils ne pourront pas deviner, t'aider et essayer de trouver des solutions. C'est compliqué je sais mais la première fois, tu peux "juste" dire que: "voilà, ça ne va pas fort en ce moment pour diverses raisons." Lorsque tu te sentiras prêt, essayer de leur dire pourquoi.
  Pour les ( TW ) scari********, je le regrette amèrement aujourd'hui...
  Pour te soulager, si la douleur est vraiment trop forte ( IS... etc), un traitement médicamenteux pendant une période après discussion avec ton médecin traitant peu être une solution. Pour ma part, je refuse d'en prendre, totalement contre ces alternatives dans mon cas mais comme dit précédemment, les situations/ réactions peuvent être différentes. Certains ont l'impression de "revivre" avec ces traitements...pas moi. Essayes de mettre toutes tes chances de ton côté pour aller mieux et pour ça, commencer par poser des mots sur tes maux.

  Et hop, je dois vite y retourner!

  Des bisous!
  Daneliya

• Par eli_le_pissenlit (Garçon / 2007 / France) le 10 décembre 2022 à 15:03

  Salut ^^
  Pour les traitements etc jsp trop par ce que jpp voir mon médecin seul, enfin j'aurais peur 🥲 (anxiété sociale bonjour), et j'oserais pas en parler si ma mere vient avec moi.. enfin c compliquer mais peu etre que je peu voir un médecin au csa (pas sur que ce soit simple, mais en théorie je peu)
  Et sinon j'avais totalement oublié que ct jusqu'à 16 ans 🥲

  Un peu aucun rapport mais ça fait 4 jours que je me suis pas scari**** 🥲 je suis grave fier xD

• Par Daneliya (Fille / 2004 / Suisse, Genève) le 10 décembre 2022 à 19:13

  Salut ^^ Pour les traitements etc jsp trop par ce que jpp voir mon médecin seul, enfin j'aurais peur 🥲 (anxiété sociale bonjour), et j'oserais pas en parler si ma mere vient avec moi.. enfin c compliquer mais peu etre que je peu voir un médecin au csa (pas sur que ce soit simple, mais en théorie je peu) Et sinon j'avais totalement oublié que ct jusqu'à 16 ans 🥲 Un peu aucun rapport mais ça fait 4 jours que je me suis pas scari**** 🥲 je suis grave fier xD

  Bonsoir !

  Félicitations pour tes 4 jours !
  Tu vas réussir à totalement te détacher de ça, tu peux le faire.
  Tu mérites d'aller mieux!

  N'hésites pas à donner des nouvelles si ça avance où non.

  Des bisous,
  Daneliya.

• Par eli_le_pissenlit (Garçon / 2007 / France) le 11 décembre 2022 à 08:31

  Merci ^^
  Après je pense que je vais rechuter là dedans mais bon c normal, enfin ca va être d'un coup que je vais arrêter c quand même une addiction que c depuis longtemps :'D