Une personne en situation de handicap peut être plus vulnérable et sans défense et peut donc subir des agressions par des personnes non handicapées.

Ceci n'est pas tolérable.

Elle est une personne, avec ses droits et ses devoirs.

L'un de ses droits est de ne pas subir des agressions et d'être traitée comme tout le monde.

Si toi aussi, tu te trouves en situation de handicap et que tu as subi ou que tu subis encore des violences sexuelles, l’important est de ne pas rester seul·e, d'en parler et de chercher de l'aide.

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Le mieux serait d’en parler à tes parents.

Souvent, les jeunes ont peur d’en parler à leurs parents par peur de ne pas être cru·e·s ou peur d’être puni·e·s ou des conséquences négatives dans la famille.

Si tu n’oses pas en parler à tes parents, à quel·le autre adulte de confiance peux-tu te confier ?

  • ton médecin ?
  • la·le parent d’un·e ami·e ?
  • un·e oncle/tante/grand-parent ?
  • un·e enseignant·e ?
  • un·e infirmier·ère scolaire ?

Tu peux aussi t'adresser :

Leurs services sont gratuits et tu peux demander que ton anonymat soit garanti. Si tu ne sais pas si ce que tu as subi est "pénal ou non pénal", tu peux aussi leur demander leurs conseils.

Avec le soutien de

Avec le soutien financier de la Confédération, en vertu de l'ordonnance sur des mesures de protection des enfants et des jeunes et sur le renforcement des droits de l'enfant.

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