Vivre devient trop lourd 💭

Salut,

Je m'exprime aujourd'hui pour parler de ce qu'il est arriver ces dernières jours.

J’ai suivi les conseils des modérateur, alors j’ai appelé le 3114 mardi. La première personne que j'ai eu au téléphone ne comprenait pas, mais jai rappeler une autre fois et la deuxième personne était gentille. On a parlédu traitement, du comment agissait au cerveau donc des réponses que le CMPEA mont pas donner et et le fais de parler m’a apaisée un moment.
Malheureusement, cet apaisement n’a pas duré.

Plus tard, le mal-être est revenu très fort. J’ai pleuré, sans oser rappeler, de peur de déranger et j'ai fini par me faire du mal.
Et c'est là que j’ai compris que rien ne semblait pouvoir me "ramener sur terre", rien ne peux me rassurer, rien ne semble me retenir comme si tout n'avais aucune intérêt.
Certe, je veux m'en sortir mais rien ne prouve que cela réel.

Hier, je suis quand même allée en cours. Malgré ma fatigue et peur de rester des long heure a l'école. En philo, on parlait de la mort et du sens de la vie et certains ont dit que le suicide était pour les "faibles". Le prof disais que c'étais stupide et que c'est pour les gens qui peur de ne pas avoir contrôle sur leur vie donc ridicule...
En cours d'Histoire, je voyais les autres camarade de classe sauté de joie et répéter qu'ils ont la moyenne alors que moi.. j’ai eu 4/20 accompagnée d'un mot.. : 'Il faut travailler !!!! ' et le regard du prof qui étais sévère, sa façon de me regarder est rester dans ma tête. Toute l'attention étais sur moi, le prof me disais d'assumer ma note et de lire mes erreurs.
Je rester triste profond de moi, je disais rien, et seulement faire ce qu'on ma demander et je dissocier doucement pendant que les autres discuter entre eux, de leur note et réponse.. je repensais à mes années où j’étais félicitée et qu'on m'apprécier...

Tout me pèse sur le mental, aujourd'hui, j’avais décidé d’en finir.
J’ai dit adieu à deux personnes qui étais proche en leur expliquant que ces jours seraient nos derniers ensemble. Mais l’une d’elles m’a retenue... elle m’a parlé de son passé, de ceux qu’elle avait connus et j’ai essayé d’être compréhensif à sa douleurs malgré que dans ma tête ct décider.

Elle me supplier me disant qu'elle voulais pas que je parte, je voyais dans ses yeux qu'elle voulais pleure, et c'est là que je me rappellais que j'ai ce que je nomme "fardeau moi-même" c'est quand je parle, ma douleur s’invite dans le cœur des autres, comme si elle devenait la leur. Et là plus part du temps , les gens sont bouleversée.. et j'avais oublier que j'avais ce fardeau. C'est la raison d'en j'en parle a personne dans le réel.
Je suis restée avec elle un moment. On a tenté d’appeler le 3114, mais après plusieurs minutes d’attente, personne n'avais répondu alors j’ai raccroché. Je ressentais un désespoir et un sentiment qui me disais que ct mon destin et que je ne pouvais pas fuire ma propre mort.
Elle m’a accompagnée jusqu’au lycée, convaincue que je ne ferais rien. Et je suis revenue en cours, même si, dans ma tête, l’idée de mourir restait là.. j'étais un peu bouleversée.

En classe, je m’imaginais mourir, m’imaginais enfin apaiser mon âme.
Je rejouais des scènes, à la pharmacie, dans la rue… Mon esprit était en tempête, submergé par des images et des pensées difficile à calmer. Et peu a peu je m'en dors en plein cours...