Les baisers interdits

C'est une passion clandestine
Qu'on ne cesse de chasser
Comme une bête maligne,
Venue des fonds condamnés.

Elle reste timide et sans amis
Sous nos draps plein de volupté
Où notre amour, reprend vie,
J'ai faim, je désire un baiser.

Oh que nos corps sont brûlants !
Mais qu'il est bon, qu'il est bon le pécher !
Tels les flammes sur la mer navigant,
Oh j'ai faim, je désire un baiser.

Quelle belle ivresse, quelle étrange ivresse
Que la haine ne pourra jamais estomper
Ô toi, que ces vers confessent
J'ai faim, ah je désire un baiser !

Caresse du soir, caresse du noir
Qui arrose nos cœurs de tant de beauté,
Epée contre épée sans nous en vouloir,
Nous allons mourir pour ce baiser.

Réponses

Aucune réponse pour le moment.

Répondre au sujet

Pour répondre à un sujet ou à un commentaire, tu dois d’abord te connecter.

Connecte-toi à ton compte

Avec le soutien de

Avec le soutien financier de la Confédération, en vertu de l'ordonnance sur des mesures de protection des enfants et des jeunes et sur le renforcement des droits de l'enfant.

Ouvrir les actions