On a beau adorer un livre, quand on arrive à la dernière page, il faut savoir le refermer.
J'ai écris ça quand j'avais 11 ans.
J'avais perdue un ami.
Puis le temps à fait que nous nous sommes retrouver.
Et, la temps lui aussi, la emporté.
Les années on défiler à une vitesse folle.
Une chose n'a pas bouger ; le harcèlements qu'ont subissait.
Aujourd'hui il n'est plus là.
Le harcèlement la emporté.

J'ai beau adorer le livre de nos moments passés ensemble, je sais qu'il va falloir que j'accepte son suicide. Il va falloir que j'accepte que le livre se termine.

Je ne réalise toujours pas.
Je ne veux toujours pas y croire.
Je ne peux pas y croire.

Je refuse...
Tu est simplement partie en vacances, voilà ce que je pense.
Mais au fond de moi je sais, que ce n'est pas ça.

J'écris des dizaines de textes par jours, ton nom orne toutes les pages.

Si tu savais le vide que tu as laisser ici bas, pourtant tu été convaincue que tu ne manquerai à personnes.
Ta famille est détruite.

Et je n'ai jamais ressenti un manque aussi grand que celui là.
Ton absence est tellement douloureuse.

Je ne te reproche rien.
Je comprend ce qui t'a pousser à commettre ça.
Je l'ai vécue, on l'a vécue.
Je le vis encore.

Sache que dans ma vie, tu été mon livre preferer. Mais je doit accepter avoir tourner la dernière page.

Je doit en saisir un nouveau, je sais que ce sera rempli d'amertume et de tristesse. Mais je peux te promettre que je me battrai, accepter ne voudra jamais dire oublier.

Je n'oublierai jamais ce qu'il ton fait. Je ne pardonnerai jamais. Je continuerai de parler de toi, de penser à toi.
Je refuse qu'on t'oublie.

Dans ce livre, ce futur.
Je donnerai tous ce que j'ai de plus chère pour qu'ils payent.
Je donnerai tout mon âme dans la lutte contre ce fléaux dévastateur.

Je ne suis pas encore prête à changer de livre, je sais que je ne réalise toujours pas.
Je ne ferai dailleur probablement jamais le deuil.

Mais un jour je réussirai à accepter et à vivre dans ce monde sans toi.
Ça marrache les doigts d'écrire ça si tu savais.

Mais je ne peux pas mourir.
Je ne peux plus me laisser aller.
Je ne peux pas faire ça, car je vois la satisfaction que ça leur procure.
Je vais me relever.
J'ignore le temps que ça prendra mais je vais me battre pour toi.

C'est si dure. Tellement dure.
Je t'aime

Réponses

Aucune réponse pour le moment.

Répondre au sujet

Pour répondre à un sujet ou à un commentaire, tu dois d’abord te connecter.

Connecte-toi à ton compte

Avec le soutien de

Avec le soutien financier de la Confédération, en vertu de l'ordonnance sur des mesures de protection des enfants et des jeunes et sur le renforcement des droits de l'enfant.

Ouvrir les actions