Tenir encore ou disparaître 🌧

Salut,

J'ai eu un rdv au CMPEA pour le suivie.
J'écris ce qu'il s'est passer : mon point de vue et ressenti.
Il y'avais en plus une éducatrice random. Pfff... chiant quoi, trop personne pour rien. Genre ils étaient 3 (=psychiatre, medecin, éducatrice) + moi. 💀
Le cadre comme le même, les mêmes questions, les mêmes prescriptions et ils voulaient seulement augmentée la dose de l'antidépresseur comme si cetais ça qui l'intéresse.
Et puis des questions rapides, et on parler de la dissociation, il se m'étais a faire un discours... un long discours sur le fonctionnement et des gens qui ont un "cerveau puissant" qui sont célèbre avec la dissociation et qui as construit des choses incroyable... plusieurs minute a parler de la dissociation et me dire qu'il faudrait que jy arrive a le contrôler sinon je devrais prendre des médicaments pour la dissociation.
Et puis il me proposée de me préparer une truc qui consiste que je quitte les cours quand je veux.. un genre déménagement.. mais que je n'ai pas accepter car mes proches ne seront sûrement pas d'accord.
Ils passent l'intégralité de l heure a parler de la dissociation et des gens connue pour cela et moi je commence a perdre patience avec leur paroles qui sont là pour passe temps, alors je pose la question sur les penser suicidaire : Qu'est ce que vous avez comme solution pour les idée suicidaire, a part les antidépresseurs ?
Ils ont bugais un peu.. un silence dans la pièce et me dis que passerais a un psychothérapie (que je n'ai jamais vécu depuis que je suis au CMP, donc un faux espoir car je n'ai toujours pas vue de psychologue,) les groupes de paroles et de la solution d'être en hospitalisation. Ce que je conclut comme.. ils ne savent pas quoi faire de moi...
Je suis donc rester silencieuse retenant mes larmes. Après cela un gros silence, ils décident de finir là et m'écrivent la date du prochain revue.

Donc ce qui est fais est un renouvellement des antidépresseur.
Et mon rendez vous est le 13 janvier... car le psychiatre par en vacances et donc je serais seule avec mes idées suicidaires pendant les vacances.

Honnêtement, pendant ce rendez-vous, j’avais très envie de pleurer, mais je me suis retenue. En sortant, j’ai laisser échapper une larme, puis, une fois rentrée chez moi, j’ai pleuré silencieusement.. laissant couler toutes mes larmes. Je me suis réconforter moi-même en mangeant des chocolats de kinder bueno.
Mais cette douleur que je ressens promet d'être difficile ce soir... ou tout les jours qui me restent.
Je tiens , je tiens, je tiens mais un moment, le délai sera trop long que je me tuerait car je ne serais plus capable de demander d'aller a hôpital puisque mes parents sont impliqués dans mes problèmes et il ne voudrais pas que j'en rajoute encore...