....
Depuis le début j'étais briser . En voulant m en sortir je me suis forcer a rester .
Ma familles me disent que ses moi le problèmes dans leurs vie .
Que je gâche toujours tous .
Alors ma naissance à t elle aussi un échec?
Pour les gens qui m en tours je suis déjà qu à fardo.
Et pour moi même aussi .
J ai tellement souffert qu aujourd'hui la moindre choses qui peut me rendre heureuse se finisse ou soit plus compliqué que prévue.
J ai toute ses émotions que je ressentait pas avant qui viennent me frapper en pleine tête.
J ai tous ses mots qui me revienne à l esprit.
J ai l apprécions d avoir reculer au lieu d avancer.
J ai voulue prouver que la vie en Valais la chandelle. Que l harcèlement que j avais vécue m avais pas détruit que je pouvais me relever . J aurai préfère abandonner plus tôt. Je me suis totalement perdu finalement.
Je suis rien . Au yeux des autres suis tous sauves des choses positive .
Même si certains personnes tienne à moi . J ai envie d en finir .
En vrai la personne que j était est morte Depuis des années.
Je n aime pas celle que je suis devenue .
Je me déteste.
....
Réponses
-
Par Compte supprimé (Fille / 2007 / Suisse, Valais) le 5 janvier 2024 à 22:57
Tu n'es un fardeau pour personne. C'est ceux qui t'ont faut du mal qui sont des poids pour ce monde déjà fragile. Mais toi, tu mérites de vivre. Et il y a une phrase qui dit que la douleur que les autres te dont ressentir, ils la connaîtront aussi un jour. Tout le mal que tu ressens leur tombera dessus. Mais à ta différence, ils ne tiendront pas. Ils seront beaucoup plus épuisés dans leur combat que toi.
Tu te déteste mais uniquement à cause de cette voie saboteuse dans ta tête. Tu es une fille géniale, j'en suis persuadée.
Ce n'est pas le moment d'abandonner. Tu as tenu jusqu'à présent alors continue, tu peux le faire. On sera là pour te soutenir ;)
-
Par Juste_un_type (Garçon / 2006 / France) le 6 janvier 2024 à 00:23
T'as dû en vivre des choses, alors je doute que t'expliquer que tu n'es pas rien changera quelque chose.
Mais en vrai, je n'ai même pas besoin de l'expliquer car tu le fais mieux que moi. "J". Si tu n'étais vraiment rien, il n'y aurait pas de "Je".
Un texte, c'est pas marquant hein. Tu vas pas te relever d'un bond, en pleine forme parce que tu as lu un message de soutien.
Je vais tenter un truc, à voir si ça marche.
Ok.
J'espère que tu es dans un endroit calme.
Très calme.
Tu vas arrêter toute les choses que tu faisais en parallèle.
Et pendant la lecture de mes phrases, tu vas te concentrer sur mes phrases. Il n'y a que mes mots et ma voix que tu t'imagines que j'ai.
Prends ton temps, calmement et à ton rythme. Tu sais, on est pas dans un marathon, tu peux ralentir.
Tu vas ralentir le temps. Oui, tu en a la capacité.
Calmement.
Des gens tiennent à toi, tu l'as dis.
Penses-tu que tu peux aimer quelqu'un qui est à 100% négatif ? Non, je ne crois pas.
Alors tu as une part de positif en toi. C'est mathématique.À la fin du paragraphe, de ce paragraphe, je t'invite à fermer les yeux. Tu vas te revoir, celle que tu dis "morte", là, devant toi. Tu vas te revoir et tu vas te demander "Qu'as t-elle que je n'ai pas ?". Ensuite, demande lui. Demande toi "Qu'ais-je qu'elle n'a pas ?". Et demande lui. Puis, tu vas la regarder un moment. Sans parler. Cette fille, ton toi du passé, n'est pas morte. Bien au contraire, elle vit. Si tu le souhaites, elle peut revenir. Si tu ne le souhaite pas, elle peut rester dans tes souvenirs. Elle ne partira pas. Jamais. Car elle est là et le seras toujours.
Tu peux faire l'expérience.Les réponses, tu les as.
Le ressort doit se tordre et reculer pour pouvoir propulser.
Les autres ne sont pas toi, tu ne peux pas vraiment avoir d'emprise sur eux.
Le harcèlement t'a détruit, mais sans le savoir, tu as déjà recommencer la reconstruction.
Et il n'est jamais trop tard pour changer.
C'est simple.
Oui, trop simple.
Bien trop facile..
C'est difficile pas vrai ?
Oui.
Mais ta famille a tort, leur problème, c'est leur problème. Tu n'en fais pas partie.
Oui.
Mais voilà. Le déclic est difficile.
Tu as réussi à gagner la gloire de vivre. Tu es parvenue à survivre jusqu'à aujourd'hui. Tu as conquis l'ensemble des secondes que tu as déjà parcouru. Tu as vécu chaque kilomètres que tu as marché.
Tu sais.
Tu es.
Et tu es la somme de ce que tu fais.Il y a une phrase que j'aime beaucoup.
"L'important n'est pas ce que tu es, mais ce que tu as envie d'être". Que tu n'aime pas celle que tu es aujourd'hui, ce n'est pas une fatalité. Par contre, ne pas aimer celle que tu seras demain.Tu veux arrêter de penser.
De réfléchir.
Taire cette foutue voix.
Tu t'extirpes par les livres.
Tu t'en vas en dormant -non, le sommeil est difficile-.
Tu veux juste ne plus être.
Mais non.
Même morte tu seras un cadavre.
Et sincèrement, je préfère une fille qui poste des messages qu'un cadavre, et je suis pas le seul à penser comme ça.
La clé du problème, c'est le problème en lui-même.
Tu es le résultat final du problème mais tu es surtout la seule solution.
Et te retirer la vie ne fera que retirer la seule solution possible à ton problème.Ferme les yeux.
Oublie ton physique.
Oublie tes défauts.
Oublie ce que tu n'aime pas chez toi.
Ce qu'il reste, oui, ce truc qu'on appelle l'âme, je sais que tu ne la déteste pas.
Tu n'es pas un corps.
Tu n'es pas un nom.
Tu n'es pas un chiffre.
Tu es un esprit.
Un esprit dans un corps dans un monde dans un univers dans (possiblement) d'autres univers.
Tu contrôles des milliards d'atomes chaque secondes.
Tu es tellement moderne que la technologie ne comprends pas comment tu fonctionne.
Tu es un être complexe doué d'une conscience.
Cette conscience, c'est la voix.
La voix, c'est aussi la voie.
Tu sais, ce que tu entends. Cette foutu voix.
Enfaite, elle ne sait pas parler.
Elle utilise des mots qu'elle ne comprend pas.
Non, c'est sans doute faux. Mais cette voix, elle ne dis pas la vérité.Car comme le dirait très bien Ano :
"Tu es une fille géniale".
Répondre au sujet
Pour répondre à un sujet ou à un commentaire, tu dois d’abord te connecter.
Connecte-toi à ton compte