Je suffoque, j'angoisse, c'est le passé toujours qui m'oppresse.

Les quelques séances chez le psy ? Eh bien sa n'a rien donné.

Histoire familiales ou amicales comme personnelles, elles sont partout.
Elles m'empêchent de vivre, comme cette fois ou j'ai vraiment voulu arrêter d'exister, pensée qui de temps en temps s'insinue encore dans mon esprit. Ces bras pleins de cicatrices, qui le soir quand le noir m'oppresse finissent couvert de sang et de larmes.

Et puis...

- ça va ?

- moi ? bien sûr comme toujours !

Voilà sa c'est moi.

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