Poème "tu sais pas" (octosyllabique)

Tu sais pas (octosyllabique)

Tu ne sais pas ce que sa fait.
Tu ne sais pas ce qu'on ressens.
Quand tu te sens juste échangés.
Et que toi, t'es toujours aimant.

Quand tu sais que ta déchirer,
Des penssés mais aussi des vies.
Quand tu sais les avoir user.
Jusqu'à leur si simples envies.

Quand ton réveille fait pleurer.
Quand tu te lève pour abattre.
Quand ta vie n'est "que" à porter.
Et toi, tu voudrais en débattre.

Tu voudrais te lever, encor,
Mais pour détruire tout ces cœurs.
Quand on te di : "faux être fort."
Mais pour leur donner que des pleures.

Tu ne sais pas ce que sa fait.
Tu ne sais pas ce qu'on ressens.
Quand tu te sens bien mal placé.
Et que toi, t'es encor béant.

Quand toi, t'es toujours souriant.
Quand la nuits, tu vois défilé.
Faisant semblant d'être dormant.
Les visages que ta user.

Quand tu te reveil se matin.
Et que cette chambre est vide.
Celle qui ta donner sa main.
À bout de tout, à bout de fluide.

Quand ta bien trop causer de peine.
Pour ton existence mener.
De ce sang qui coule en t'es veines.
Quand tu sais les avoir user.

Tu ne sais pas ce que sa fait.
Tu ne sais pas ce qu'on ressens.
Quand tu les fait juste pleurer.
Et que toi, t'es la souriant.

Souriant pour pas inquiété.
Parce que t'es qu'un long fardeau.
Pour pas encor en ajouter.
Parce que t'es tomber de haut.

Quand tu vis culpabilité.
Quand jamais, tu ne cessera.
De voire cette vie passé.
Et de plus les savoirs la bas.

Les nuits au coeur si déchirer.
De les connaître disparu.
D'un des choix qui à était fait.
Ces gens la bas, ces « plus connu »

Tu ne sais pas ce que sa fait.
Tu ne sais pas ce qu'on ressens.
Quand tu les à tous terminé.
Et que toi, t'es trop résilient.

Pour être tout ce qu'ils était.
Tu te bat, mais t'es déjà mort.
Et toi la, t'es trop fatiguée.
Et t'es plus ce gars asser fort.

Englouti, trace du passé.
Mais tu sais, tu sais c'est fini.
Et que t'es perdu, à jamais.
D'avoir gâcher leur belle vie.

Et tu porte tout ça, avec toi.
Pas pour être fort, pas pour ça.
Pour te souvenir de sa lois.
Du temps qui passe, pars la bas.

Tu ne sais pas ce que sa fait.
Tu ne sais pas ce qu'on ressens.
Quand tu est juste terminé.
Et que toi, bas, tu peux rien sans.