Poème "Haine" (decasyllabique)

Haine (decasyllabique)

Je te hais pour celle que tu est,
Je souffres tu me passe pour un fou,
Je te déteste, ce mépris donner,
Je ne suis ce que tu voulez, avoue,

Chacun de m'est trait, t'y trouve resons,
Resons de me critiquer, detester,
Tu m'en veux juste, je le sais au fond,
Mais vois-tu, je ne peux m'y résilier,

Tu crois que je l'ai voulu ? Franchement,
Moi aussi j'ai souffert, j'ai essayer,
Tout de moi, tu le deteste vraiment,
Un prix à payer ? J'ai pas souhaité,

Comme ça, je suis nait, absèpte le,
Ta vie j'ai gâcher ? Et la mienne, pense,
Oui j'ai bien guéri, enfin, peu à peu,
M'est quand tu me parle mon coeur se tance,

Tu y à pensser ? À mon resentis,
Non, tu préfère te vanger, de ça ?
Je te rapelle que c'était MA vie,
Tu voulais, que je ne revienne pas ?

Jamais, je ne serais que déception,
Tu me hais et c'est bien réciproque,
Et ça vois-tu, bien ? J'y prête atention,
À cause de moi ? Cause de tout mes toques,

Je ne le serais jamais, celui-là,
Celui que tu voulais, qui n'est pas moi,
Et toi, tu t'en plein, de ça ? De tout ça,
Enfaîte, pour toi, je suis quoi ? Pourquoi ?

Mon bonheur, tu disais ? Je n'y crois plus,
Ce jour là, où tu penssés, ma traité,
Je sais, le sais, que pour toi c'est foutu,
C'est ta façon à toi ? De te venger,

Oui, triste tu était, mais c'est ma vie,
Et ça tu ne peux me le reprocher,
Parfois pense, tu voudrais soi fini,
Je te l'ai di ! Je suis naît comme ça,

Oui, j'aimerais mais je ne le pourai,
J'ai souffert, tant, mais ça tu ne comprend,
Ne serais que de pouvoir te montrer,
Je le sais, qu'au fond même tu te ment,

C'est pas passer loin, vraiment pas, très loin,
Un miracle on m'a di, mais toi ? Mais toi,
Tu en fait déjà, tout un foutue foin,
Ma faute ? Tu ose dire, encor fois,

Mais maintenant je le sais, j'ai compris,
C'est ta façon à toi, de supporter,
Et ce, durent, toute ma maudits vie,
Et pour ça, pour tout ça, bah, je te hais,