salut.
vous avez deja eu l'impression d'être ce mouton noir. cette personne pointée du doigt parce qu'elle fait pas comme tout le monde. cette personne qui sait se faire détester en un temps record. cette personne qui se révolte quand c'est injuste?
cette personne qui a le regard perdu dans le vide et qui est muette comme une tombe?
Cette personne qui fait pitiée alors qu'elle à la rage..
cette personne qui rêve de pacifisme mais qui ne sait que déclencher la guerre?

quelle est la solution pour ce genre de personne? On doit les exterminer? Elle doivent s'auto-détruire?
Ou on parle d'un mind positivisme? Meme si on sait tous que ça ne veut rien dire.

ou alors il faut l'interner?
Ou on lui conseillera de fermer sa gueule et de faire comme tout le monde. Ou on lui propose un job seule, loin des autres. Qu'elle soit garde forestière dans un trou paumée.

On fait ça?
On fait quoi? On la ferme jamais? On la ferme? On s'enferme? On est inutile comme tous les jours? On se fait insultée psq on est une merde? On saute d'un balcon oud'un pont?

On blablate à en mourir psq on veut ignorer le silence intimidant. Psq on veut oublier cette putain de solitude?

On fait quoi au final.
On se démenne. On veut gagner.
On s'acharne à travailler dur très dur pour etre la meilleure dans son domaine. Psq on est aimé que pour ce qu'on fait au final, jamais pour qui on est? on essaie de dégiusée la façade?
On fait ça alors. On travaille comme personne. On se démenne.
Et un jour on a atteint le succès et on ne s'arrête jamais, comme une machine. On ne rêve que de résultat. Le mot personne ne veut plus rien dire. On s'en fous de ça, de cette chose. Une personne, c'est quoi? Un ennemi? Un malheur? UN accident? Un truc à éviter? un truc dont on s'en tape? Un machin qu'onn ecoute jamais?
C'est rien. Ce n'est rien d'autre que rien.
Y a que ce qu'on fait. Il faut faire faire faire. Jamais s'arrêter de faire. Construire, faire jamais s'arrêter. se foutre des gens. psq les gens sont mauvais. on est tous mauvais-. l'espèce humaine est une rèelle merde. je la déteste cette espèce. Je la hais de tout mon corps. de tout mon coeur, de tout mon esprit. je me fous des gens maintenant.
J'essaie. c'est pas facile. mais j'essaie. je leur veux pas de mal, je veux juste la paix. LA PAIX c'est seule. c'est sans ces enculés à problème.

Réponses

  • Par Juste_un_type (Garçon / 2006 / France) le 18 juin 2023 à 20:06

    On fait comme avec toute les autres personnes gentilles. (Je vois le monde en noir et blanc, excuses moi de cette hétérogénéité). Pour être précis, on la consoles, on la calines, on la calme.
    Car tu es une humaine.
    Car tu fais parti des humains qui ont l'intelligence de changer le monde.

    Crois-moi, je sais que y'a des milliards d'abrutis dans ce monde. Je le sais, car je sais également que tout les autres, les différents, les délaissés, les rabaissés et les détestés n'en font pas parti.
    Je divises le monde sous plusieurs catégories. Pour le moment, je suis sûr de 2 catégories : Les "banales" et les "incroyables". C'est simple, les banales sont toutes les personnes inutiles qui gâchent absolument toute notre existence sur Terre. Les incroyables font le contraire, elle le rende meilleur.
    Je penses qu'il y a plus de catégorie, et ce n'est que mon point de vue. Mais je crois que tu possèdes certains traits de caractère et de pensée que j'ai également. Pas assez pour te dire sans te mentir que je te comprends, mais assez pour dire que je suis d'accord avec toi.

    De toutes les facettes de ce monde, j'ai toujours hais les gens. Avant, je croyais que très très peu sortaient du lot. Maintenant je penses qu'on est plus nombreux que ce que je pensais. Il y aura toujours ces idiots que je détesterais toute ma vie. Mais maintenant que j'ai divisé la population, je sais que je suis pas le seul, et qu'on est plein dans ce cas, à détester l'humanité (enfin plutôt les banales).

    Avant, y'a pas si longtemps, vraiment pas longtemps, je me disais que les gens comme moi m'avais oublié, au dédale d'un sentier ou sur l'autoroute. Il ont dû tourner à droite quand j'ai pris à gauche. Ils ont dû partir pour vivre des aventures géniales.
    Mais je me dis, que on a jamais commencé le chemin ensemble. On a tous commencé séparer et notre but, mon but, c'est qu'on se retrouve et qu'on change ce monde.

    J'y crois.
    On me dis que j'espère trop et que je suis bizarre.
    Tant pis, j'y crois encore plus.
    Et je suis pas le seul dans ce cas là.

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