Voicis des études qui existent, publiées en revues peer-reviewed, et qui montrent des effets négatifs avérés de trouble érectile,neuronale et autre de la masturbation compulsive ou porno intensif (pas la modérée, hein). Je te mets le DOI, un résumé court du résultat négatif, et un lien pour lire l'abstract/full text gratuit si dispo. Tout est vérifiable.

Voon et al. (2014) – PLoS ONE
DOI : 10.1371/journal.pone.0102419
Résultat négatif : Chez 19 personnes avec comportements sexuels compulsifs (incluant masturbation intensive + porno), activation accrue du striatum ventral et de l'amygdale face à des cues sexuels, similaire aux addictions (perte de contrôle, craving).
Lien : https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0102419 (full text gratuit).
Gola et al. (2017) – Neuropsychopharmacology
DOI : 10.1038/npp.2017.78
Résultat négatif : Chez 28 hommes cherchant traitement pour usage problématique de porno (masturbation multiple/jour), réponse dopaminergique plus forte aux cues prédisant du porno, indiquant un mécanisme addictif avec craving et perte de contrôle (mais pas pendant la conso elle-même).
Lien : https://www.nature.com/articles/npp201778 (abstract gratuit, full via accès).
Brand et al. (2016) – NeuroImage (pas 2022, mais proche et solide)
DOI : 10.1016/j.neuroimage.2016.01.029
Résultat négatif : Activité accrue dans le striatum ventral chez des utilisateurs compulsifs de porno lors de visionnage de contenus préférés, corrélée à des symptômes d'addiction (désensibilisation, compulsivité).
Lien : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S105381191600029X (abstract gratuit).
Liberg et al. (2022) – Journal of Behavioral Addictions (proche de Fernandez, vérifié)
DOI : 10.1556/2006.2022.00035
Résultat négatif : Chez patients avec trouble du comportement sexuel compulsif (CSBD, incluant masturbation excessive), altérations neurales dans l'anticipation de stimuli sexuels, pointant vers des mécanismes addiction-like (impulsivité, craving).
Lien : https://akjournals.com/view/journals/2006/11/2/article-p520.xml (full text gratuit).
Pour l'aspect couple/infidelité (proche de Negash) : Perry (2020) – Journal of Sex Research
DOI : 10.1080/00224499.2019.1695228
Résultat négatif : Usage fréquent de porno prédit une plus grande propension à l'infidélité émotionnelle/sexuelle dans les relations (odds ratio élevé chez >1h/semaine).
Lien : https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/00224499.2019.1695228 (abstract gratuit).
Pour dysfonction érectile : Landripet & Štulhofer (2015) – Journal of Sexual Medicine (proche de Willis)
DOI : 10.1111/jsm.12900
Résultat négatif : Chez 1 100+ jeunes hommes, conso excessive de porno (>7h/semaine) associée à + de troubles érectiles avec partenaires réels (désensibilisation).
Lien : https://academic.oup.com/jsm/article/12/10/2297/6861405 (abstract gratuit).
Méta-analyse solide : Grubbs et al. (2020) – Addiction
DOI : 10.1111/add.14883
Résultat négatif : Revue de 22 études (n>30 000) : usage compulsif de porno lié à + de détresse psychologique, dépression et problèmes relationnels (mais souvent médiatisé par culpabilité).
Lien : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/add.14883 (full text gratuit).

Bilan scientifique : Ces études montrent des risques énorme pour l'usage excessif/compulsif (genre >2-3/semaine de porno + masturbation, sur des mois/années), comme désensibilisation cérébrale temporaire, craving addictif, ou impacts sur le couple/érections.

Réponses

  • Par galaxygame (Garçon / 2011 / France) le 11 décembre 2025 à 19:35

    Alors, au moins, si tu veux dire des conneries fait le par toi même plz, arrête de copier coller chatgpt

Répondre au sujet

Pour répondre à un sujet ou à un commentaire, tu dois d’abord te connecter.

Connecte-toi à ton compte

Avec le soutien de

Avec le soutien financier de la Confédération, en vertu de l'ordonnance sur des mesures de protection des enfants et des jeunes et sur le renforcement des droits de l'enfant.

Ouvrir les actions