Le rendez-vous psy..

Salut,
Aujourd'hui le 25 novembre, la date de ma revue de suivi avec un psychiatre. J'ai tenue jusqu'à la date et je suis aller au CMPEA.
Je compte raconter ce qu'il s'est passée.

Déjà depuis la veille, j'étais hyper stressée et j'ai dormi que 4 heure de sommeil. J'ai fais mes cours de la journée puis l'après midi, je suis aller au rendez-vous.
Pendant la route, je stressée et j'avais peur.
J'étais dans la même bureau, le même psychiatre avec un homme a côté qui ne noter pas mais qui observer.
Je semblait sûrement très stressée, je regarder partout, je n'arrivais pas a bien comprendre ce qu'on me disais, je répondais rapidement avec des oui ou non sans argument...

Le psychiatre m’a poser pleins de questions sur le traitement. Des moments je disais queje ne savais pas en essayant de parler.
Et là, il commence deja la nouvelle prescription d’antidépresseurs, puis il lâche juste : « On se vois dans 15 jours. »
Je suis rester un moment à le regarder. Je sais même pas quel tête je faisais, mais dans ma tête ça tournait en boucle :
*Encore le même chemin… encore cette impression d’être abandonner. Pourquoi ils me laisse pas juste en finir… Je veux plus passer mon temps à supplier ces gens là de m’aider…*

Je crois que je l’ai regarder longtemps comme ça, alors qu'il me regarde et parlais aussi de quelque chose, avec un mélange de haine et de frustration… puis j’ai détourner mon regard, en me rendant compte comment je le fixais.. peut-être méchamment.

Il a commencer à poser des questions. J’avoue que je ne me rappelle pas très bien de tout...
Après il a parlé de mes pensées suicidaire, et je lui ai dit que je pense à la mort presque tout les jours. Il m’a demander si, si j’avais pu, je l’aurais fait, et j’ai dit que oui… mais que j’en ai pas la possibilité. Je me souviens de la façon dont il m’a regarder, puis leur visage avait l’air frustré ou inquiet, comme si j’avais dit un truc qu'il fallais pas. ;-;
Il m’a demander s’il y avais des solutions pour éviter ça. J’ai répondu que non, que rien montre qu’il y a une solution.. parce que jusqu’à maintenant, rien as l’air d’en être une.
Et il m’a regarder avec un regard triste.

Puis on m’a demander de faire une description, de dire ce que je voulais "faire disparaître" de ma vie. J’ai mis beaucoup de temps a réfléchir regardant par terre et j'ai dit que je voulais me changer moi-même, tout, la personne que je suis… ma façon d’être… en gros, devenir quelqu’un d’autre.
Et ça, ça avais pas l’air de lui plaire.

Puis il notait en regardant son carnet et j'ai essayer de parler de la dissociation. Et j'ai demander s'il existe des médicaments pour éviter la dissociation et là on ma demander ce que je ressentais et comment. Puis il ma proposer des médicaments mais jai dit qur ct quotidiens alors il me parler de voir un psychologue. Genre en rencontré.
Et que demain il feront une réunion et ils me diront quand je rencontrerai une psychologue.
Et puis c est fini comme ca ,il fini de remplir la fiche de prescription. Et il installe la date du suivie pour le 16 décembre, les nouveaux antidépresseurs qu'on me prescrit : Zoloft 50mg. Et puis je part avec l'adulte qui m'accompagner.

Pendant le travees pour rentrée je me sentais confus et joyeux. On est passer a la pharmacie pour acheter les médicaments, puis achetée une boisson fraîche et je suis rentrée.
Et dès que je suis rentrée dans ma chambre, l'événement tourne en boucle... le vide s'installe et puis je respire vite et donc je fais une crise d'angoisse. Je pensais un peu trop.. et je hurle de douleurs insupportable que je ressentais. Je répétait encore et encore que je dois mourir et enfin je calme ce stress en me mordant....

(Désolée s'il ya une partie plus travailler que d'autre..)