Je me détruit. 🕊

Il est 00:32

Je sais pas ce que je fou.
Vraiment depuis que t'es plus là, je déraille,
Je rester toujours enfermer, vraiment je fessait rien je passer mes journées à fixer les murs.
Je voulais plus rien faire.
Mais la douleur parter pas.
Je voulais que ça cesse, je veux que ça cesse et j'ai merdé et c'est pas finie.

Ça va bientôt faire un mois que tu es partie, que tu t'es envolé.
Et rien qu'à le dire, qu'à l'écrire, qu'à le pensée, les larmes coules toute seule

J'ai commencer à sortir tout les jours dehors, je traîne avec des gens qui eux mêmes traînent dans des truc pas net tu sais.

Et aujourd'hui on m'a brûlé le bras avec une cigarette.
J'avais pas mal pourtant.
Je ressenter rien.
Je ressent rien en moi, à part, cette tristesse immense et cette peur d'avancer sans toi.

Tu sais je fait tout et n'importe quoi je sais même pas pourquoi, je veux juste arrêter de ressentir cette douleur, ne plus avoir peur.

Ma mère m'emmene chez la psy dans quelques jours, pour parler et faire ce truc la "le deuil". Jai refuser de y aller car de toute façon, la psy ma jamais aider, et ce deuil je le ferai jamais.

Si tu savais comment ton absence me bouffe de l'intérieur.
Certain diront qu'avec le temps et blablablabla.
Foutaise.
Depuis que t'es partie la douleur ne fait que grandir en moi comme une ombre qui obcurit mon coeur.

Une ancienne amie a moi, ma dit "ta changé" , nan mais vraiment. On m'a arracher une partie de moi, tu es partie, la personne avec qui je passer des heures, a parler de tout de rien, la personne avec qui je riait réellement avec qui mes sourire n'était pas faux. La personne que je pouvais pas perde enfaîte. Je réalise toujours pas
J'avais envie de lui dire

"logique connasse mon meilleur ami à pris des tonnes de cachet et quelques jours apres j'était a son enterrement, tu voudrais quoi? Que je colle mon faux sourir? Et bah nan la c'est plus possible"

Avant je disais que , chaque situation de merde, c'était un nuage devant un soleil, que ça finirai par partir, que le nuage se disparaîtra et laisser place à un beau soleil.
Dit toi que ça c'était mes propres mots, jy crois plus. J'ai un orage devant mon soleil, et ça va presque faire un mois................

La je suis dehors, je t'écrit ça, je suis sur un trottoire.
Ma mère sais même pas que je suis dehors.
C'est ça l'avantage de vivre au rez-de-de chaussé.

Je t'ai envoyer une centaine de message depuis que tu es partie.
Plus poignants les un que les autres.

Ta petite sœur elle, je crois que elle réalise qu'elle reverrat jamais son grand frère.
T'es parents, ta famille ils sont toujours aussi mal.

Tu sais je me noie, je me noie réellement. Quand j'était au plus bas, j'était persuadée que jamais j'irai plus mal.
Mais enfaîte si c'est possible, la je te jure je crois que je m'en sortirai jamais.

Avec toi c'était possible, je pouvais rouler sur la route de la vie sans peur.
Mais maintenant je suis prise dans ce putain d'embouteillage infinie. Et je panique au milieu de tout ça.

J'aimerai tellement, que tout ça soit faux , que tu sois juste partie en voyage, en vacance. Et que tu rentreras. J'aimerai tellement bordel.
Ce qui est étrange, c'est que je sais que ça n'arrivera pas mais j'ai toujours pas réellement réaliser.

J'aurais voulue changer le cours des choses ce jour là.
Je t'aime, ton absence j'ai de plus en plus de mal à le supporter.