Désolée d'avance l'histoire n'est pas vraiment fini.
J'espère que cela vous plaira.
Et tenez vous prêt pour une deuxième histoire qui arrivera très vite.
Bonne lecture.

Ce jour-ci, Julie (elle en seconde) était très fatiguée, c’était un mercredi après-midi, il n’y avait pas beaucoup de monde dans le lycée, il ne faisait pas très chaud et il y avait du vent. La jeune fille vit un jeune homme de terminale avec qui elle avait déjà parlé deux ou trois fois brièvement. Il était assis sur un banc sans personne autour. Elle s’approcha jusqu’à être au niveau du banc, elle lui dit : « Salut, je sais qu’on se connaît à peine mais je suis fatiguée et je ne veux pas restée toute seule. Est-ce que je pourrais m’asseoir avec toi si ça ne te dérange pas ? ». Tom lui répondit : « Non t’inquiètes viens assis toi. » Elle s’assit à côté de lui, il l’a pris dans ses bras la voyant grelottée et claquée des dents, elle dit : « T’es en couple ? », il répondit que non et lui retourna la question, elle ajouta : « Non, d’ailleurs je n’ai jamais été en couple. ». Ils parlèrent encore plusieurs minutes, ils sentaient cette alchimie qu’il y avait entre eux et leur écart d’âge les excitaient encore plus. Puis, elle mit sa tête sur ses cuisses, une minute après elle sentit quelque chose de dure sous sa tête et elle ne se demanda pas longtemps ce que ça pouvait être. Tom lui dit : « J’ai la gaule, tu m’excites trop, j’ai tellement envie de toi, si tu ne pars pas je vais te sauter dessus ! ». Julie se leva, elle lui prit la main ouvrit une porte pour aller dans le bâtiment l’amena jusqu’aux toilettes, ouvrit la porte des toilettes handicapées la referma avec le verrou. Elle lui dit : « Tu peux faire ce que tu veux tant qu’il y a du respect et du consentement. », elle se colla à lui son dos contre son torse (à Tom). Là, Tom pris ses mains, l’une au niveau de son ventre et l’autre caressant ses seins, Julie avait ses mains sur celles de Tom. Ensuite, il se mit face à elle et la porta au niveau de sa taille, elle l’embrassa langoureusement avec la langue, c’était divin. Il malaxait ses fesses, elle lui demanda de la redéposer sur terre, ce qu’il fit. Julie prit les mains de Tom dans les siennes et lui dit : « J’ai très envie d’aller plus loin avec toi mais dans les toilettes sales c’est pas ouf, ça serait avec plaisir qu’on le fasse dans une chambre. Si tu es d’accord ? », il répondit : « Ok, mercredi prochain chez moi, mes parents ne seront pas là de la journée, on ira l’après-midi si ça te va ? ».
Une semaine plus tard c’était le grand jour, chacun avait mangé de son côté pour éviter les messes basses, il voulait que leur relation reste secrète, ils s’étaient rejoints devant le portail du lycée. Pendant le trajet de dix minutes, ils avaient parlé de leur vie respective sans évoquer le thème de l’amour ou du sexe. Une fois devant la porte, il l’ouvrit, rentrèrent il lui proposa un verre d’eau et allèrent dans sa chambre. Ils s’installèrent confortablement lui à demi couché sur le lit, elle la tête sur son torse en se tenant les mains. Ils discutèrent :
J: Tu as déjà fait ta première fois, toi ?
T : Oui, je l’ai déjà fait quelques fois, et toi ?
J: Non jamais. C’était bien ?
T : Tu sais c’était un peu spécial et excuse-moi de dire ça mais c’était une connasse, elle n’en avait rien à faire de moi elle voulait juste baiser un max.
J: Ok, je suis désolée que ça se soit passé comme ça.
T : Nan, mais t’inquiètes tu n’y es pour rien.
J: Ouais.
T : Tu veux que je te dise. Le fait que tu sois vierge et plus jeune et moi pas vierge et plus vieux ça fait un peu une situation d’apprentissage qui est assez excitante. Tu ne trouves pas ?
J: J’avoue c’est cool!
T : Tu as des appréhensions ?
J: Euh…oui.
J : En fait, je ne suis jamais masturbée d’après ce que je connais de la masturbation c’est-à-dire pas grand-chose. Ce n’est pas que ça me dégoûte ou que ça soit tabou mais j’ai profondément peur de rentrer un doigt dans mon vagin ou bien un gode. Même si je sais que si je le fais ça va me faire du bien. Donc si tu veux me faire une pénétration digitale ou avec ton pénis il va falloir beaucoup m’exciter et mettre du lubrifiant parce que j’ai peur.
T : Ok, merci pour ton honnêteté mais vraiment ne t’inquiètes pas je ferais en douceur.
J : Je te préviens j’ai peur de beaucoup de choses. J’ai aussi peur des pénétrations anales mais bon après ce n’est pas très important de toute façon pour l’instant je n’ai pas envie d’en faire.
T : Tu sais ce n’est pas parce qu’on est tous les deux dans la même pièce avec un lit que on est obligé de faire l’amour. Il y aura d’autre fois où mais parents ne seront pas là. Si tu veux on peut juste se chauffer, c’est comme tu veux.
J : Tu entends quoi par chauffer ? Et ça va jusqu’où ?
T : On s’excite, on peut par exemple s’envoyer des messages chauds où alors faire l’amour par écrit, s’embrasser, se déshabiller petit à petit, se caresser, se poser des questions chaudes…et on peut aller plus loin.

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