Cas 16 : détresse non traitée 💔

Hey..
Je vous laisse mon petit historique des mois de mon état mental auquel je me rappel. Je ne peux pas faire depuis le debut d'années car ça serais long.

Et puis, beaucoup de questions dans ma tête.. en regardant c'est 8 mois de destruction mental, je me dit : est-ce qu'on pourrais dire que je suis bonne a mourir ? Cela est-elle un signe que je suis condamnée dans la souffrance ? Est ce qu'on pourrais dire que c'est la faute aux adultes ou est-ce ma faute ? C'est moi qui m'exprime pas ?

Bref.. je vous laisse ma petite recap selon ce que je me rappel :

● Mars
Sentiment d'abandon
Solitude
Convocation de mes parents
Signalement par le lycée encore et encore puisque inutile.

●Avril
J'ai fais une TS connue officiellement qui ma fais une hospitalisation de 2 jours
On me donne mon premier prescription de médicament.
2 séances au urgence foireuse.
On me crie dessus car je ne m'exprime pas avec des propos par rapport au religions qui me font mal.

●Mai
La prise de médicaments sans suivie
Aucune convocation
Une perte espoir sur le traitement.
Solitude et impression de devenir folle

●Juin
La prise de médicaments sans suivie
État mentale qui se degrade et sentiment d'abandons.
Crise d'angoisse quotidien et fatigue extrême.
Souvenir parasite + Scarification
Dépendance de l'anxiolytiques

●Juillet
Arrêt volontaire du traitement antidépresseur après environ 3 mois de prise sans suivi.
Ts non reconnue + Scarification
Je commence a ne plus aimer mes activités
Je passe mes journée a dormir.
Dispute d'avoir arrêter le traitement

●Août
Mon état empire
Les idée suicidaires augmente avec les idées noires et fatigue
TS non reconnue + Scarification
Première dissociations.
Le sentiment du poids au poitrine indescriptible.
Perte de souvenir a cause de l'arrêt

●Septembre
La rentrée des classes
Solitude et sentiment d'être différente des autres jeunes.
La peur de la Terminal.
Ts non reconnue + scarification
Discussion foireuse avec le 3114
Dissociation h24 et difficulté de concentration donc oublie rapide.
Je stress pour tout et j'ai peur pour tout et n'importe quoi.

●Octobre
Dilemme entre un objet et ma santé mentale.
Je me rend au urgence.
Rencontre d’une professionnelle avec qui le lien de confiance s’est créé, mais je l'ai vue que 2 fois.
Des "excuses" car les personnes que j'avais rencontrer au urgence en avril n'avais jamais remplis la feuille qui étais sensée me guider vers le CMPEA.
Puis rencontre au CMP, la peur des professionnel qui m'ont l'air bizzare.
Dissociation quasi permanente, épuisement extrême.
Difficultés scolaires, perte de mémoire, concentration terrible, 6 de moyenne générale.
Crises d’angoisse en cours, douleur a la poitrine indescriptible et sensation d’étouffement mais je le dit jamais au prof car j'ai peur de déranger, peur quon me crie dessus ou d'être prise pour une folle.
TS non reconnue
2 rendez-vous au CMP qui on étais rapide et prescription une nouvelles fois de médicaments.
Mais un revue avec le médecin prevue pour le 25 novembre donc pendant ce temps là je suis seule a attendre que le médoc réagisse.

Voilà.
Je me sens condamnéé à la souffrance.
Je ne vie même plus, ma vie est de la merde et là je me vois détruire encore plus.
J'ai impression que tout justifie ma mort car la fatigue et la lassitude me prenne.
Je pense que c'est peut-être parce que je suis trop calme ou trop timide donc les professionnel ignore et pense que ce n'est rien.
Je ne sais pas... mais je suis un être sensible , seule et adolescente sans clé pour me géré donc ce n'est pas encore une fois des médicaments qui vont m'aider.

J'ai l'impression que je dois mourir car tout me semble justifier cela, depuis le collège jusqu'à là, c est presque une condamnation a la souffrance et ce qui donnera forcément la mort.
La peur constant, on pourrais même dire que je suis une peureuse, stupide et n est pas capable de demander de l'aide, moi-même je suis aussi fautif.
Je suis fatiguée, je peux compter sur personne.. timide au téléphone, dans la réalité sans amie de confidence.
Seulement avec la souffrance constant.
Ma vie c'est de la merde, nulle et stupide.
Vrmt.