Bonjour, j'ai envie de me confier, je suis autiste, anxieuse, problème d'écriture sur papier (j'écris++++ sur ordi), et j'ai aussi un sorte de mémoire sélective (j'en reparlerai plus tard dans le sujet), et je subis (et j'ai subi) du "validisme" banalisé/manque de prise au sérieux

Pour le passé (primaire, COVID et post COVID)
En primaire (CE2-CM1-CM2) je subissait du rejet social (et des amitiés très caduques, un jour sur 2, une semaine sur 2, peu)
Deux "amies" dont je tairait leurs prénoms, faisaient genre d'être mes amies, mais certains jours non, cela m'avait créé une période difficile, remplie de crise autistiques, j'avais besoin d'attention, j'étais pas bien, j'avais pas envie d'aller à l'école car vu que j'avais pas de vraie amie bah, ça sert à rien, et les autres, dans leur coin avec leurs amis...
Quand je dis besoin d'attention et j'étais pas bien : au point de faire des "j'entends rien et je vois rien" quand elle menaçait d'aller dire au maîtresse (si à 3 tu dégage pas je vais balance), ne considérez pas ça comme du harcèlement, j'en pouvais plus OK, respectez moi, en plus j'ai des putain de problème de sociabilité depuis petite, bref...
Et quand je disais que j'étais pas bien : je me frappait souvent, criais un peu, ou me tapait doucement la tête contre quelque chose (pas au point d'avoir mal, ou de saigner).
Bon c'est l'entracte où j'ai très honte de moi, j'ai peur d'être incomprise, considérée comme folle, mimetiste ou capricieuse.
Une fille, (c'était en CM1, 2021) avait des fidgets (je savais pas ce que c'était ok, j'ai jamais pu demander à ma mère) et au matin elle en avait ramené, et moi j'avais pleuré (car y'en a ils m'ont embêté), au midi, j'étais re triste (car bouleversée du matin), la fille les avaient prêté au autres (ou pas voulu prêter jsp), et là crise autistiques assez sévère (je souhaite être prise au sérieux, pas étiquetée comme malade mentale ) je disais "je veux me *", je criais, bref... Puis une dame de cantine (équivalent des surveillants.es) à appeler mes parents, quand ils sont venus ils m'ont dit "tu vas douiller en rentrant" en mode "tu seras bien punie", ALORS QUE JE CONTRÔLAIS PAS PUTAIN DE MERDE, j'étais pas dans mon état normal, ils m'ont dit "tu as fait peur à la fille, tu t'excusera le lendemain" comme si c'était ma putain de ma faute... Alors que non, j'étais bouleversée, ils m'ont donc punie une semaine, au lieu de me prendre au sérieux... J'avais besoin de voir une psychologue, ou de me confier à l'époque, il l'ont fait fin (octobre novembre jsplu) 2021, après avoir pris au sérieux mes crises d'angoisse et mes tocs (je me mordais les lèvres, disais 100x en moy je t'aime à ma mère), j'ai jamais été sous traitement (j'étais sous sophrologie et discussion avec la psy, c'était pas du tout sévère, à part des phases courtes), je considère ça comme du validisme (et du psyvalidisme) caché de la part de ma mère, et de mes 2 amies qui m'ont trop souvent rejetée (je suis autiste, anxieuse, et en besoin de compréhension, bienveillance et attention !!!) et de l'éducation nationale qui se dit inclusive mais laisse les enfants neuroatypique dans l'ennui et la solitude... Et aussi... La fois où la mère m'a punie une semaine car j'étais allée dans un endroit des jeux et je lui est pas dit (si, elle avait pas entendu) et quand ils disaient "Chloé" je croyais que c'était une autre, car c'est un prénom très commun, c'était ma période de dysphorie de prénom, genre je me disais que c'était la faute de mon prénom, car il était trop commun, que j'aurais dû avoir un prénom moins commun, mais pas que ça... Que ma mère devrait bien écouter quand je pars JE SUIS PUTAIN D'AUTISTE... c'est pas ma faute... Et là, j'ai eu affaire à une poucave d'amie, qui est allé dire à ma mère que j'ai mal parlé à ma prof de maths, alors que j'avais giga mal au ventre (règles) et que c'est ma douleur qui contrôle, je suis autiste, mais on veut cacher et minimiser mes problème émotionnels, donc ma mère m'a punie une semaine...

Autres trucs : Je suis aroace : je veux ni être en couple ni hum hum (ça arrivera pas !) et y'a des élèves qui disent "y'a *nom d'élève* qui est dispo pour couple (ou autre structure de phrase similaire)" je dis que je veux pas, je suis pas dans ça, mais ça me fait chier, même le "tu le trouves beau" je peux pas dire que je suis aroace, car ce terme n'est que très peu médiatisé en France... Je me sens oprimée... Car je subis ça...

2e autre truc : mes parents ont suspecté du diabète juste car je buvais plus d'eau que la moyenne normale, alors que c'était une période où je devais souvent masquer le goûts de certains aliments, et j'ai du faire prise de sang a jeun (c'était yavait un p'tit bail) j'ai une phobie des piqûres... Que j'ai toujours.

Voilà, j'expliquerai d'autres truc plus tard

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