Question (Garçon / 2004)

Il est dommage que vous persistiez et signiez avec cette navrante, inutile et non reconnue écriture inclusive.

À part ça, je vous remercie de m'avoir répondu.
Je n'irai pas chez le médecin de sitôt à propos de mon problème de prépuce, car je ne me sens pas prêt. Quand le moment sera venu, j'aurai des rapports avec une fille avec pénétration vaginale.
Je précise sciemment, car j'ai déjà eu des rapports sexuels.
Avec ma copine. Mais uniquement des caresses, des bisous ... et ma copine m'a prodigué trois fois une fellation + deux fois une finition manuelle.
Je n'en ai parlé qu'à une autre personne à part vous. Nous avons tous les deux quatorze ans (ma copine et moi). Nous restons discrets, car nous avons peur d'être jugés. Nous nous aimons.
Pourquoi n'aurions-nous pas le droit à des plaisirs charnels à notre âge ? C'est étrange, nous nous sentons déjà condamnés par cette société hypocrite ... J'hésite à en parler ouvertement. Elle aussi hésite. Que devons-nous faire ? Nous devons continuer à nous cacher ?

Réponse

Tout d'abord, concernant le fait que vous ne souhaitiez pas aller chez le médecin, c'est votre choix mais nous nous permettons d'insister.

Effectivement, si vous ne parvenez pas à décalotter, il y a un risque que votre premier rapport sexuel avec pénétration soit douloureux, voire que vous saigniez. Cela serait dommage...

Concernant vos relations intimes avec votre amie, nous ne voyons pas pourquoi vous devriez en parler, cela relève de votre vie privée. Il se trouve que 14 ans est un âge précoce pour avoir des rapports intimes si l'on en croit les statsitiques. Toutefois cela reste indicatif et chacun se développe à son propre rythme, ce qui compte est d'être en accord avec soi-même et de ne pas sentir de pression. Si votre amie et vous vous sentez prêts, c'est votre affaire et du moment que vous avez le même âge, cela ne pose pas de problème juridique.

Bonne continuation.

Dernière modification le 22 janvier 2019

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